Concernant cet acte de désobéissance civique non-violent, résolument symbolique compte tenu de son très faible préjudice, les avocats ont défendu la liberté d’expression, un des piliers majeurs de nos démocraties. La cours européenne des droits de l’homme protège ce droit à la liberté d’expression. Au nom de ce droit, plusieurs jugements ont confirmé qu’on ne peut pas incriminer ce type d’acte, même illégal.
Le verdict à Saint-Étienne sera rendu le 1er mars…
Voir aussi le rapport d’audience publié par Le Progrès